Manèges de Jean-Noël Caillois

Les manèges de Jean-Noël Caillois CAM 207

Les avions

Vues de l’ensemble du manège comportant 8 avions (Fig. 1 et 2).
Une ampoule 12 volts est installée devant chaque avion (Fig. 3).
Ce modèle fonctionne avec un moteur plat jaune 9 volts qui entraine une roue de chaine de 14 dents et une roue de chaine de 18 dents sur laquelle il y a une démultiplication d’engrenages afin d’obtenir un mouvement lent (Fig. 4).
Détail de l’articulation des bras supportant les avions (Fig. 5).

Les balançoires

Le modèle fonctionne avec un moteur de 6 vitesses. À partir de l’arbre, une chaîne s’enroule sur deux roues de 18 dents, suivie d’une démultiplication d’engrenages ; une roue de chaine de 28 dents en sortie est reliée à une autre roue de chaine de 56 dents au sommet du modèle (Fig. 1).
Cette roue fait fonctionner un vilebrequin formé par des plateaux centraux ce qui permet de donner une oscillation différente aux balançoires (Fig. 2).
À la base du modèle des leviers situés à chaque extrémité, actionnent un bras de manivelle (Fig. 3) qui soulèvent des plaques n°189 (Fig. 4) permettant d’immobiliser les balançoires (Fig. 5).

L’haltérophile

L’articulation de l’haltérophile fonctionne par le pliage des jambes lors de la descente ou de la montée (Fig. 1 et 2).
L’arrière du modèle avec son moteur et son engrenage (Fig. 3).
Le fonctionnement se fait par une tringle de 11,5 cm fixée par un raccord de tringle fixée à la taille de l’haltérophile (Fig. 4).
Le moteur de 6 volts porte sur son arbre un pignon de 19 dents accolé à une roue de 57 dents ; sur l’arbre de celle-ci, une vis sans fin engrène un pignon de 19 dents qui engrène une roue de 57 dents ; une roue à barillet forme l’excentrique qui provoque la montée et la descente de l’haltérophile (Fig. 5 et 6).

Le manège carrousel

Inspiré par un modèle d’avant-guerre, ce modèle possède quatre chevaux (Fig. 1).
Il fonctionne avec un moteur de 6 vitesses qui engrène par un pignon de 15 dents un plateau de 192 dents qui repose sur 16 roues à boudin (Fig. 2 et 3).
Les chevaux fonctionnent par des excentriques situés en haut manège. Les excentriques sont des roues à barillet de 6 trous ; sur leur axe, au centre du manège, des roues dentées de 38 dents sont entrainées par une roue de chant de 50 dents (Fig. 4).

La grande roue

Ce modèle, inspiré par la grande roue de 1900 de l’exposition universelle, mesure un mètre de diamètre et est muni de 16 nacelles (Fig. 1) ; entrée de la grande roue (Fig. 2).
Sur l’arbre du moteur 6 vitesses une roue de chaine de 14 dents suivi par une autre roue de chaine de 18 dents ; sur son axe un pignon de 19 dents engrène une roue de 57 dents et sur le même axe une vis sans fin porte un embrayage n° 144 (Fig. 3).
La vis sans fin engrène une roue de 57 dents sur laquelle une bague d’arrêt vient pousser la tringle qui débraye le fonctionnement de la roue (Fig. 4).
L’axe central de la roue est réalisé par des plateaux de 15 cm fixé par des raccords de tringles ; les tringles sont longues de 33 cm ; ces plateaux sont maintenus par des roues à barillet n°24 (Fig. 5).
Vues sur les nacelles maintenues par une tringle de 16,5 cm ; à chaque extrémité il y a deux entretoises fixées par une bague de chaque coté (Fig. 6 à 8).
Au sommet du portique, une roue de chaine de 56 dents est fixée à l’arbre horizontal de la roue (Fig. 9).
Près du sol, nous apercevons la roue de chaine de 14 dents qui permet l’entraînement de la roue (Fig. 10).