Notre-Dame : Note du 2 mars 2020

(Note du 2 mars 2020)

En ce qui concerne Notre Dame, à l’issue de toutes les consultations, fin 2019, m’appuyant sur une trentaine de donateurs (liste non exhaustive) j’ai considéré que le projet était viable et même si tous les détails ne sont pas à ce jour encore réglés, j’ai donc pris la décision de lancer officiellement l’opération.

Dans un premier temps, nous devons rassembler les éléments nécessaires à la construction d’un cahier des charges qui nous permettra d’établir une nomenclature des pièces à fournir par les uns et les autres.

Plusieurs d’entre nous ont commencé à explorer le sujet.

Après bien des hésitations, je vous confirme que le choix de l’échelle est bien le 1/50^ème.

J’ai été conforté sur ce choix dès le début de la construction partielle d’une maquette probatoire à cette échelle. Cette maquette « écorché » doit nous permettre de faire les choix techniques et d’établir une nomenclature en vue de procéder à l’appel des pièces. Je compte la présenter à Sarreguemines pour que chacun puisse apporter ses idées. Je souhaite également que pour éviter des frais de port, la majorité des pièces puissent converger vers Sarreguemines.

Bien entendu, tout ne sera pas à l’échelle, mais c’est l’aspect d’ensemble qui compte.

J’ai établi un tableau de conversion m/cm/trous qui sera mis à la disposition de ceux qui voudront bien participer au montage.

Le chemin de ronde supérieur fait 2 trous de large que nous pourrons obtenir de différentes façons.

Les deux chemins de ronde inférieurs qui forment les toitures des nefs latérales et des 29 chapelles entre les arcs boutants font 9 trous de large (utilisation des plaques secteur N° 54 dans l’abside). Tous les chemins de ronde sont bordés de rambardes confectionnées avec des bandes étroites et des vis de 19mm.

La toiture dont la faîtière est à 0,90m devra rester amovible pour faciliter l’accès à l’intérieur du monument de même que la flèche qui culminera à 1,98 m.

Les 3 rosaces seront de vraies rosaces miniature réalisées par un ami, JP Sigonneau, CAM 2206 qui est un passionné du sujet.

De même que pour les vitraux des 113 fenêtres qui seront réalisés en matériau translucide par une connaissance qui fait partie d’un club de modélisme de monument.

Il sera nécessaire de prévoir un découpage en sous-ensembles pour le sablage, la peinture et le transport.

A mon avis le montage pourrait commencer cet été après avoir résolu le problème du découpage en sous- ensembles. A première vue 6 modules, soit : la façade avec ses tours, la nef, le transept, le cœur, la toiture en croix d’un sel tenant et la flèche.

Bien des parties peuvent être représentées avec des poutrelles plaques, mais dans la majorité des cas on peut les remplacer par des bandes doublées.

Après ce tour d’horizon, reste à définir les modalités de la construction qui, à priori devrait se réaliser en région parisienne. Là, je vous laisse y réfléchir…

Soit, un montage chez l’un d’entre nous ou dans un local dédié, soit montage en sous-ensembles avec un assemblage final, ce qui requiert une grande précision sur les points d’assemblage et une définition la plus précise possible. Que les candidats se manifestent !

N’hésitez pas à apporter vos suggestions et nous dire si vous êtes partant chacun à votre façon.